114 personnes ne font plus partie de l’effectif actif d’IBM France depuis le 1er septembre. Nombreux, parmi « ceux qui restent », souffrent de surcharge de travail. Des compétences ont disparu tandis que les processus et outils  changent sans prévenir. Résultat : Moins de présence face au client et des salariés qui ne savent pas trop où l’entreprise va …
Le livre 4 du PSE oblige la direction à faire un suivi avec les salariés impactés. Et les dialogues en équipes font souvent long feu.
Nous constatons que IBM ne remotive pas ses troupes (1,4% d’augmentation hors obligations légales et encore pas pour tout le monde).
IBM France SAS continue de dégraisser en appliquant les consignes de globalisation de la Corp, avec les moyens bien connus (PIP, licenciement, rupture conventionnelle) pour se débarrasser des encombrants.

Dans ce contexte, la CFDT participe activement aux commissions de suivi ; n’hésitez pas à nous faire part des difficultés post-PSE quelles que soient leur nature.

Cf. notre article « Mon manager m’a soumis à un PIP , peut-il me licencier..) https://www.cfdt-ibm.org/6493/#